Broder un torchon, c'est comme écrire un livre : le vertige de la page blanche !
Se lancer, oser...
Peut-être e dire qu'Irénée Gerriet a eu bien de la chance que quelqu'un lui brode un beau torchon, c'est une belle histoire pour Sylvaine !
Peut-être raconter sa vie : la maison les enfants et le mari, compagnon, fidèle supporter de la brodeuse, le jardin et les animaux familiers...
Ce peut être aussi des grilles qu'on aime, qu'on assemble et qui deviennent une illustration du plaisir qu'on prend à l'exercice !
Un torchon brodé pour le concours 2004 à Panazol (Haute-Vienne) !
Merci à Gilles et Lucie pour la photographie.
Pourquoi pas aussi s'inspirer d'un marquoir ancien pour y deviner comment une personne d'hier a brodé pour quelqu'un, ou comment une jeune fille d'autrefois s'est livrée sur la toile en mêlant ses inquiétudes d'adolescente et ses rêves d'avenir : papillons, fleurs, animaux familiers...
Broder un torchon, ce peut être simplement pour faire palisir à quelqu'un qu'on aime : n'est-ce pas Vava ?
Broder un torchon, c'est participer à un concours, à une compétition amicale et joyeuse !
Broder un torchon, c'est se faire plaisir et faire plaisir aux visiteurs qui viendront l'admirer en mai prochain à Nans sous Sainte-Anne !
Bernadette Baldelli et Marie-Thérèse Saint-Aubin, membres du jury 2013 à Nans sous Sainte-Anne : en plein travail de sélection !
Broder un torchon, ce n'est pas le destiner à essuyer la vaisselle, même en faïence de Nans sous Sainte-Anne !
Si le coeur vous en dit, il suffit de vous inscrire et de participer au concours d'idées pour le prochain salon de Nans sous Sainte-Anne !!